Valse Avec Bachir

Dirty dancing

Affiche Valse Avec Bachir

"Je n'ai rien gardé en mémoire. Absolument rien."
Guerre du Liban. Beyrouth. Sabra et Chatilla. Des mots qui résonnent et qui triturent la mauvaise conscience du peuple israélien. Des instants, des visions qui alimentent les cauchemars du peuple palestinien.

Terminator 3 - Le Soulèvement Des Machines

He’ll be back to the future

Affiche Terminator 3 - Le Soulèvement Des Machines

Douze ans après un jugement dernier évité de justesse, le terminator revint sur les écrans tenir sa promesse mais sans James Cameron pour présider à sa destinée. Crime de lèse majesté ? Pas du tout ! Car revoir sur son home cinema Terminator 3 - Le Soulèvement Des Machines n’est pas qu’un bon moyen de tester le rendu sonore de ses enceintes !

Avatar

Deep blue seed

Affiche Avatar

Fable universelle jouant tout aussi bien sur les mythes que sur l'Histoire des hommes et du cinéma, le film de James Cameron est un coup de massue émotionnel. Face à une œuvre aussi titanesque, il n’est pas facile d’ordonner ses idées et l’exercice a ses limites.

Les Banlieusards

L'enfer de Dante

Affiche Les Banlieusards

A l’origine délimitation spatiale, le terme banlieue est devenu en France un formidable répulsif car désignant inconsciemment un fourre-tout cosmopolite et fantasmatique peuplé de cailleras converties à l’Islam et s’adonnant au trafic de drogue entre deux tournantes, tandis qu’en Amérique il est synonyme de havre de paix. Enfin, ça c’était avant que Joe Dante n’y plante sa caméra…

Death Sentence

Noir désir

Affiche Death Sentence

Contrairement à ce que son absence d’actualité pourrait laisser croire, James Wan n’est pas l’homme d’un seul film, le roublard Saw. C’est sans compter son excellent Death Sentence qui conte le parcours du cadre supérieur Nick Hume, un homme pressé d’en finir avec les meurtriers de son fils, un homme pressuré par son noir dessein.

Exilé

Joueurs-nés

Affiche Exilé

A priori, Exilé semble confirmer la position des détracteurs du cinéma de To, préférant l’esthétique à toute émotion. Or ce sublime hommage au cinéma de Leone en forme d’épitaphe révèle avec grâce la mélancolie infusant toute l’œuvre du génie hongkongais.

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